Sujet: Presentation de Ievguéni Petrenko Mer 8 Mai 2013 - 1:05
Allez, voila ma présentation enfin postée!
Spoiler:
Ce que ne sait pas Petrenko
Ca c’est passé y a des siècles. A l’instant ou j’écris ces mots, ça fait mille neuf cent quatre vingt cinq ans que j’ai pris Ievguéni sous mon aile. Alors qu’un groupe de pillards venus de l’empire Ottoman enchaînaient les raids aux alentours de l’actuel Minsk, en Bielorussie, le vieux Aleksandr et moi, on roulait nos bosses de village en village. On en saignait un ou deux, on remerciait les gens de leur hospitalité, et on repartait. Mais parfois, ça arrive, on se fait devancer. On a fini par débarquer dans ce…Non, je pourrais pas appeler ça un village. Ce tas de baraques cramées et écroulées, ça pouvait même pas s’offrir le titre de hameau. Des cadavres partout. Tout le conglomérat de maisons agglutinées avait été pillé. La rage au cœur et l’estomac vide, on retournait poutres et caillasses pour espérer trouver de quoi bouffer. Pas envie de manger cuit, d’autant que les cadavres étaient même pas bouffables pour des bêtes sauvages. Et il a fallu qu’on tombe dessus. Un mioche de même pas un an qui chialait, enrobé dans des peaux de bêtes comme c’était la coutume dans l’coin. Pas le temps de tanner la fourrure, l’endroit était propice aux attaques de loups. Et vu le nombre de baraques, tout un chacun d’vait se démerder pour défendre le village en cas de problème. Donc on avait sur les bras l’équivalent d’un apéricube pour deux, mais j’sais pas pourquoi, j’avais comme l’impression que ce mioche, ce serait pas une tanche, une fois entraîné.
-C’est marre, Alek’. T’as qu’une envie, c’est d’le bouffer pour toi tout seul. Alors tu vas même pas essayer. T’as qu’à me bouffer, si tu y arrives, vieux! -Tu lis dans mes pensées, gamin. File-moi le môme, ou j’te calme. - Ecoute bien c’que je vais te dire, papy! Ferme ta gueule et fous moi la paix ou j’te massacre!
J’ai posé le môme derrière un mur qui n’était par chance qu’a moitié effondré. Et j’ai avancé vers le vieux, muscles bandés. Y m’faisait pas peur, avec ses sept cent trente ans de plus que moi et son mètre quatre vingt-dix. Y savait pas se battre avec la moitié de ma technique. Son poing a manqué de m’arracher la moitié de la gueule. J’attrape son poignet, pouce vers l’intérieur de sa main, et j’tourne! Shironage, et le voila qui nous fait une vrille dans les airs avant de retomber sur mon genou, se le mangeant en plein dans les côtes.
-Mille deux cent cinquante ans et t’es pas foutu de m’en coller une? mudak! -C’est pas fini, Ostragradskine! Qu’y dit en s’relevant.
Et effectivement, c’était pas fini. Cinq heures, qu’on s’est battus. Cinq heures à se frapper et à se mordre comme des chiens! Et au bout de ces cinq heures, il a fait l’erreur fatale. Il a frappé à la tête. Son poing s’est approché de ma tempe. Il a laissé la voie libre. Courbant la nuque, j’esquivai largement son coup. Et je lui ai ouvert la gorge en me relevant. Mes canines ont arraché la chair sur dix centimètres de profondeur. On lui voyait la colonne. Deux secondes plus tard, on ne la voyait plus : j’avais arraché de ma main les vertèbres visibles, et terminé de le décapiter d’un second coup de dents. J’avais gagné. Là où son temps se perdait en luxure et en jeux, le mien était à l’entrainement. Là ou ses doigts faisaient hurler des femelles et sa langue caressait leurs seins, ma langue restait bien dans ma bouche, prête à recevoir le sang de mes proies, et mes doigts formaient deux poings compacts et efficaces. Voila ce qui l’avait perdu. Son goût pour le vice. Je me relevais, puisque j’avais accompagné la chute de son corps jusqu’au sol, et pris dans mes bras le gamin endormi. Comment, avec un tel bordel autour de lui, avait-il pu s’endormir? Aucune idée. Je m’en fous, en fait. Et depuis ce jour, cet enfant sans père et sans famille est devenu mon fils. Souvenez-vous des pages précédentes. Vous savez pourquoi j’ai fait ça.
Afin de le protéger, je donnai pour nom à cet enfant Ievguéni. Ievguéni Petrenko. Le nom de mon véritable père. Parce que j’étais certain qu’un jour, ce serait à lui de me protéger.
Youri Ostragradskine, carnets
Spoiler:
Entre deux coups de poings dans la tronche, j’avais le temps de me promener, quand j’étais jeune. Maintenant, entre deux séances de muscu’ sauvage et une réunion stratégique toutes les trois heures, un entraînement Spetsnaz et la gestion des stocks d’armement d’Ostragrad, c’est pas facile d’avoir un créneau de libre. Pourtant peu de choses ont changé en Youri depuis les premiers jours où justement ma vie n’était que coups et patience. Mais ce qui a changé, c’est l’organisation de ma vie. Mais commençons par le commencement. J’étais alors un enfant, de quatre ou cinq ans, peut-être. Le temps a passé et a altéré ma mémoire (il n‘est d‘ailleurs pas le seul), j’écris donc avant de la perdre entièrement. Enfant, donc, mon premier souvenir remonte à celui d’une page de livre. Je lisais sous la tutelle d’un germain plus que correctement musclé et tout aussi instruit, chose relativement originale. Je me souviens qu’après une journée d’études, il venait me chercher le soir, quand la lune tombait. Le reste du temps, parmi les gens qui accompagnait cet homme, il n’y en avait que deux qui sortaient des sortes de grandes tentes qu’ils dressaient peu avant l’aube. Ostragradskine venait me chercher, donc, et chaque soir, il m’emmenait à l’écart. Et chaque soir, une heure durant, il m’expliquait, décomposait chaque coup qu’il connaissait, et tentait de me les faire rentrer dans le crane, que ce soit en les expérimentant sur moi à la chaine ou en me faisant essayer de les caler contre lui. Mais allez mettre un uppercut à quelqu’un de deux mètres quarante et quelques alors que vous n’avez que douze ans, du haut de votre mètre soixante! Enfin. Le temps a peu à peu passé, et le jour de mes vingt-neuf ans, il l’a fait. Il m’a offert du sang. Dit comme ça, rien de particulier, mais en ce temps, boire du sang était un acte des plus malsains. Lui faisait ça tous les jours. « pour la forme », qu’il disait. Et c’est à ce moment là, en m’abreuvant à cette coupe de bois natté, que j’ai su ce pourquoi j’étais fait. Pour me battre à ses côtés. Depuis longtemps, je savais qu’il gardait en esclavage ceux que lui et sa petite bande de pillards avaient vaincus, mais jamais je n’avais su ce qu’il en faisait. Le jour de mes quinze ans, il m’avait offert une femme. Une « innocente », qu’il disait. Il ne m’a fallu que quelques minutes pour me rendre compte de ce qu’il entendait par la. Une vierge. C’est à quinze ans, âge déjà relativement élevé pour l’époque (en sachant que la durée de vie moyenne d’un individu dans les steppes était d’environ vingt deux ans si il faisait partie d’un groupe capable de le défendre et de le nourrir) Que je découvris les joies de la chair comme telle. Et c’est a dix neuf ans que je me retrouvais père d’une petite fille. L’année de mes vingt quatre ans, ma « femme » partit pour un voyage en Egypte, me laissant la petite. La mère de la jeune fille avec qui j’avait eu un enfant la rappelait a elle pour, disait-elle dans la missive portée par un coursier, procéder à l’enterrement de son père. Malheureusement, le même coursier ne m’apporta jamais rien d’autre qu’un sac de cuir, deux ans plus tard. dans lequel je découvris le visage de ma douce. Les paupières en avaient été cousues à l’aide d’un grossier fil de lin. Les yeux, encore au bout des nerfs, pendaient le long de la paroi du récipient, accrochés à un support que j’identifiai comme étant un de ses doigts. Et dans le fond du sac se trouvait certainement la pire chose que je n’avais jamais vue. Ses organes génitaux, arrachés du cadavre encore chaud, a en douter par leur état, trônaient comme support au reste.
Le messager n’eut pas le temps de faire plus que me tendre le sac, dont tomba une goutte de sang. Avant même de l’avoir ouvert, je savais qu’il contenait une funeste nouvelle. Je brisai d’un geste la nuque de cet homme au sourire narquois, puis analysai ensuite le contenu du sac. J’en eus de quoi vomir pour les deux ans à venir. Tout me paraissait fade. Je me concentrais alors sur l’éducation de la jeune Breja. Elle était prometteuse. Youri m’enseignait ce qu’il savait. Je dispensai son enseignement a ma fille. Et sans devenir la meilleure guerrière que le monde aie connu, elle était tout de même incroyablement talentueuse pour son âge. Les autres humains n’osaient plus l’approcher. D’ailleurs, si je dis « humains » avec le recul, cela ne veut pas dire que je ne soupçonnais pasYouri d’avoir quelque chose en lien avec…une puissance qui ne serait pas de notre race. Sa seule apparence physique laissait à penser qu’il n’était pas celui qu’il voulait montrer. Enfin. Ce fut lui qui m’offrit l’immortalité un an, jour pour jour, après que j’eus appris la mort de celle que j’aimais. Les deux années passées sans nouvelles m’avaient fait mal au cœur. La seule seconde de la découverte de sa mort suffit à faire du cœur en question un minerai d’orichalque entouré de bitume.
- tu sais, Ievguéni, il y a des choses que nous ne pouvons pas comprendre tout de suite. D’autres qu’il nous est possible d’assimiler si l’on a une ouverture d’esprit assez large, m’avait dit Youri la veille de ma vampirisation,Et je pense que la tienne est suffisante pour l’entendre et le comprendre. Ce ne sont ni des humains ni des bêtes qui ont tué celle que tu aimais. Ce sont des êtres infiniment plus puissants. Plus grands. Plus impitoyables. Ce sont…Des immortels dont il faut se méfier au plus haut point. Ils ne peuvent lutter qu’entre eux, ne te mets pas en tête maintenant d’aller venger sa mort. Attends. Les proies les plus difficiles requièrent de la patience et de la technique pour être attrapées. La technique, je te la donnerais. La patience, il ne tient qu’a toi d’en faire preuve. Le soleil va se lever. Rentrons.
Ses mots m’avaient laissé pantois. Lui-même semblait éprouver une forme de haine à l’égard de ceux dont il parlait. Pas de la peur. Pas de la rancœur. De la haine. Du dégout. Du mépris. Un mépris si profond qu’il me sembla même voir dans ses yeux luire une étincelle rougeoyante, un fugitif instant captive des prunelles noires de nuit. Il m’avait dit de me lever. Il m’avait appelé « petit faucon ». Et son dernier conseil de la nuitée avait été : « n’essaie pas de voler trop vite. Il faut apprendre a bien prendre le vent pour arriver a faire de ses ailes ses atouts les plus redoutables.
Le temps a bien passé, depuis lors. Les épisodes intermédiaires de ma vie n’ont aucun intérêt. Je n’ai toujours pas retrouvé le meurtrier. Je ne désespère pas. Durant mille cinq cent ans, j’ai étudié auprès de lui, ce titan aussi borné qu’un troupeau de mules, parfois con comme la lune, mais au fond aussi imprévisible qu’une vipère prête a mordre. Comment? Ou? Pourquoi? Personne ne le sait. Mais elle touche toujours au but pour voir ses ennemis chuter d’une éternelle manière, leur corps devenir des os et leurs os la poussière qui fera de leur tombeau une terre nourricière pour les générations à venir. La vipère sait toujours ce qu’elle fait. Si elle ne se défend pas, elle attaque. Elle sait se faire observer comme elle sait être discrète. Elle sait toucher au but avec ou sans détour. La seule différence entre Youri et une vipère, c’est qu’aucune vipère n’aura un estomac aussi grand et blindé que le sien. Et un foie en orichalque, mais c’est autre chose. Je l’ai vu engloutir de la nourriture pour vingt hommes à lui seul. Je l’ai vu boire de quoi tuer un troupeau de bœufs de concours. Mais je ne l’ai jamais vu se plaindre du moindre mal. Sa plus grande force, ça a toujours été son optimisme. Un beau jour, en quarante deux…ou en quarante trois, je ne sais plus, bref, un beau jour, on était partis avec Vassilievicz (un des premiers d’Ostragrad) pour faire une razzia contre les chars des boches. Il n’est revenu qu’une semaine plus tard. Il ne restait de lui qu’un amas de chair carbonisées. Il avait perdu une jambe, un avant-bras, la moitié du visage, un bon bout de peau sur le torse, mais il avait toujours sa cicatrice dans le dos. Et vous savez ce qu’il nous a lancé en arrivant?
-Dites, les gars, j’arrive pas trop tard pour l’apéro, rassurez-moi?
Une autre fois, on l’a vu rappliquer, empalé de part en part par des dagues de glace. Nephilims a l’horizon? Zéro. Il avait deux cœurs encore chauds dans les poches, et ses muscles ensanglantés racontaient bien à quel point il avait du galérer. Sa première idée a été de demander si il restait du dessert de la veille, parce qu’il avait raté le rendez-vous mensuel avec gâteaux pralinés au mess des officiers du Kremlin, et qu’il n’avait pas envie d’avoir a aller chercher un humain le ventre vide. Il s’est répondu tout seul.
-Remarque, j’ai pas vraiment le ventre vide, mais la glace ça cale pas grand-chose. A part les côtes
Ce qui lui a valu un arrachage éclair des piquets qui l’empêchaient de s’asseoir. Enfin. Tout ça pour dire que si il a survécu jusque là, c’est bien parce qu’il est aussi insouciant, suffisant, arrogant, incroyablement optimiste…mais surtout, et ça, je pense que bien peu le soupçonnent, largement plus intelligent qu’il n’en a l’air. Sur un champ de bataille, il arrive a anticiper chacun des mouvements d’une armée ennemie au seul sens de leurs baïonnettes, a adapter sa stratégie en fonction des mouvements en question, et il organise chacune de ses charges en restant en première ligne. Le culte du chef est instauré depuis longtemps parmi nous. Et personne jusque là n’a su le détrôner. Dans les habitants d’Ostragrad, certains l’aiment. D’autres le détestent. Mais tous l’admirent. Il a donné à ceux qui l’ont suivi un foyer, un entrainement conséquent, une raison de vivre, une terre à protéger, un idéal à servir, et une totale égalité. En Nouvelle-Sibérie, ne pas s’entraider est de la folie pure. Le froid peut tuer chacun d’entre nous. Certains en ont fait l’expérience. Les liens entre les soldats de son armée sont plus solides encore que les nerfs du Dalaï-lama, et en son concile de généraux, dont je fais partie depuis longtemps, dont ma fille fait partie, et qui lui sert accessoirement de garde personnelle, d’unité de reconnaissance, de messagers haut-de-gamme, mais également d’amis, de compagnons de beuverie et d’infortune, et parfois même de salon, entre chacun des membres de ce groupe multifonction règne une fraternité qui a valu durant des siècles et des siècles le surnom a notre armée de la « Famille ». Encore un jeune qui aura vu trop de films de mafiosi.
Récemment, Youri et Moi avons rencontré des personnes capables d’illuminer nos vies aussi bien que de les détruire. Une femme a causé la perte de mon cœur, une seconde me l’offre à nouveau. Je ne la laisserais pas m’abandonner, cette fois. Je ne laisserais personne mourir de cette manière. Et celui qui a un jour croisé ma route sans jamais me voir découvrira bientôt le vrai visage de la terreur. Le mien. -Youri? Garde-moi ma montre, une seconde, je crois que je l’ai vu. -Vu quoi? -Mon prochain déjeuner. Il vient de finir de lire ma présentation.
Dernière édition par Ievguéni Petrenko le Sam 11 Mai 2013 - 3:22, édité 5 fois
Amasis gem-nef-hor-bak
shaniouchka pustynya
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Sujet: Re: Presentation de Ievguéni Petrenko Mer 8 Mai 2013 - 8:34
Ah quand même! On a faillit attendre! Bienvenue à Iévguéni. On a hâte de lire la suite en tout cas. Ca promet!
Youri Ostragradskine
Doudou sanglant et vociférant
Passeport temporel Date de naissance du personnage: 06/02/ -283 Epoques traversées: toutes depuis l'antiquité
Sujet: Re: Presentation de Ievguéni Petrenko Mer 8 Mai 2013 - 15:19
allez, un p'tit bout de plus, mais c'bien parce que c'est vous :
Amasis gem-nef-hor-bak
shaniouchka pustynya
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Sujet: Re: Presentation de Ievguéni Petrenko Mer 8 Mai 2013 - 18:48
Citation :
C’est à quinze ans, âge déjà relativement élevé pour l’époque (en sachant que la durée de vie moyenne d’un individu dans les steppes était d’environ vingt deux ans si il faisait partie d’un groupe capable de le défendre et de le nourrir).
.... que...? Que quoi??? Arghhh.... La suite! La suite!!
Ievguéni Petrenko
Vampires
Sujet: Re: Presentation de Ievguéni Petrenko Mer 8 Mai 2013 - 19:14
x) la suite est en (re)construction et va expliquer ce pourquoi il s'est fait broyer l'épaule à Nekheb! Médite la dessus, évite de baver sur ton clavier, ça va dépoter o/
Amasis gem-nef-hor-bak
shaniouchka pustynya
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Sujet: Re: Presentation de Ievguéni Petrenko Mer 8 Mai 2013 - 19:19
Ievguéni Petrenko
Vampires
Sujet: Re: Presentation de Ievguéni Petrenko Sam 11 Mai 2013 - 3:18
Et la voila cooooomplétéééée!
Amasis gem-nef-hor-bak
shaniouchka pustynya
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Sujet: Re: Presentation de Ievguéni Petrenko Sam 11 Mai 2013 - 7:34
Citation :
-Youri? Garde-moi ma montre, une seconde, je crois que je l’ai vu. -Vu quoi? -Mon prochain déjeuner. Il vient de finir de lire ma présentation.
Souad El-Camid
Vampires
Passeport temporel Date de naissance du personnage: 1200 et des patates Epoques traversées: A partir du XIIIème siècle
Sujet: Re: Presentation de Ievguéni Petrenko Sam 11 Mai 2013 - 8:51
Il est là...
Ievguéni Petrenko
Vampires
Sujet: Re: Presentation de Ievguéni Petrenko Sam 11 Mai 2013 - 10:52
(au passage, petite précision : Youri n'a pas donné à Iev de SON sang, mais celui d'un autre vampire. Un jour, peut-être, vous saurez pourquoi =D)
Ca vous a plu? ^^
Flower Davies
Palme d'or du martyr
Passeport temporel Date de naissance du personnage: 15 apr JC Epoques traversées: Bas Empire --> XXIème siècle - Humaine à partir de 2012
Sujet: Re: Presentation de Ievguéni Petrenko Sam 11 Mai 2013 - 11:11
J'en profite pendant que je suis là... Oui, ça m'a plu ^^ Le passage du corps de ta femme dans le sac était bien dégueu mais à part ça, c'était très sympa.
Ievguéni Petrenko
Vampires
Sujet: Re: Presentation de Ievguéni Petrenko Sam 11 Mai 2013 - 11:18
C'est le moment où je me suis le plus amusé dans l'écriture de la préz', avec une petite inspiration Jack The Ripper sur les bords
Amasis gem-nef-hor-bak
shaniouchka pustynya
Passeport temporel Date de naissance du personnage: -2645 av. JC Epoques traversées: Toutes
Sujet: Re: Presentation de Ievguéni Petrenko Sam 11 Mai 2013 - 11:30
Pourquoi ça m'étonne même pas?
Ievguéni Petrenko
Vampires
Sujet: Re: Presentation de Ievguéni Petrenko Sam 11 Mai 2013 - 11:39
Bon, ben...plus qu'a RP quoi ^^
Amasis gem-nef-hor-bak
shaniouchka pustynya
Passeport temporel Date de naissance du personnage: -2645 av. JC Epoques traversées: Toutes
Sujet: Re: Presentation de Ievguéni Petrenko Sam 11 Mai 2013 - 11:45
Ouais... Par exemple: ICI. Je dis ça...
Ievguéni Petrenko
Vampires
Sujet: Re: Presentation de Ievguéni Petrenko Sam 11 Mai 2013 - 12:13